Enrayer la contamination...

« Salut, J’ m’appelle Koz et j’aime pas l’Echange…. Saaaluuut Koz !!!! »

" - Dans cette galaxie il y a plusieurs types de personnes : les gars qui sont dirigés, les gars qui croient diriger et les gars de l’Echange : ceux qui dirigent…

Le truc, c’est quant tu crées une nouvelle catégorie… Celles de ceux qui emmerdent l’Echange, qui veulent pas diriger et qui veulent pas être dirigés par des nerfs malades…
Là ça fout un sacré bordel… Même sur Nar Shaada ils en ont pas des comme ça…
Ce qui pose un vrai problème, c’est que pour beaucoup de produits, légaux ou illégaux d’ailleurs, t’es obligé de passer par eux. Ils sont la, quant les autres y sont pas… Ils jouent sur la nécessité…. Et si tu veux pas passer par eux, ils ont un dialecte bizarre pour te convaincre, un truc qui sent le tibana et les hématomes.
Ce qui me fait flipper avec ces gundarks sous épices, c’est qu’il y a autant de gros bras dégénérés que de super cerveaux cramés dans cette « Organisation »… tu sais jamais sur qui tu vas tomber, comment tu vas pouvoir t’en sortir sans que ton torse sente le cramé…
Ils ont un truc que je leur envie quant même. ; Ils se reconnaissent entre eux. Comme les putes Corusci… Sérieux c’est impressionnant, c’est l’odeur ou quelque chose comme ça. Entre pourris on se reconnaît..
J’suis pas mauvaise, je juge pas comment les gens gagnent leurs vies, c’est leurs problèmes. Mais l’Echange… ils s’en prennent aux plus faibles, aux plus démunis. Ils sont du genre à fuir quant ça barde et à se partager les morceaux quant c’est fini. Ils sont pires que des puces de lave.
Et ils sont partout. Où que t’ailles ils ont déjà un gars ou deux prêts à faire leurs sales boulots.
La peste de Kumkrat incarnée.
Suffit de voir qui bosse pour eux. Rodiens, Grans, Baragwins, que des gars connus pour leur pacifisme exacerbé.
Ce qui les rend dangereux c’est le nombre. Le monopole du marché parallèle.
Moi je suis pas Jedi, j’peux me permettre de bousiller le monopole à ma façon… Moins ils auront de membres et de gros bras, mieux ça sera pour tout le monde…
Et les prisons sont trop confortables pour les gars comme eux.
J’crois qu’ils commencent à saisir que j'suis pas leur amie. Et que j'sais parler un peu le même dialecte qu’eux…

Question d’adaptation…."