Bon… vous pouvez vous la jouer aussi pur qu’un whisky corellien dans une cantina de la GMC et nous faire croire que vous n’avez jamais entendu parler des « Holos» du secteur Corpo, mais faut pas non plus nous prendre pour des shaaks de la dernière portée.
Je brosse le portrait pour vous - continuez à faire les innocents va -
On a des millions d’espèces dans la galaxie. Et la majorité est sexuée de façon au minimum binaire. Ces espèces ont des crédits. Des milliards de milliards de crédits.
Ceci est donc le constat de base sur lequel certaines Corpos du fameux Secteur Corporatiste sont parties, l’industrie du sexe n’étant finalement pas différente d’une autre industrie : l’offre et la demande.
Et comme le dit le célèbre dicton : Si la demande n’existe pas, paye plus cher ton salarié en charge du marketing, il créera une demande pour ton produit.
Alors en gros pourquoi les productions du secteur corporatiste se vendent partout dans la galaxie, y compris là où c’est interdit et même là ou rien d’autre ne passe les blocus impériaux ?
C’est simple et ça tient en quelques mots :
Vous l’avez fantasmé ? Ils l’ont fait avec plus de moyens que vous ne pouvez l’imaginer.
Il parait que les agents des corpos spécialisées dans le porno galactique sont plus nombreux sur le terrain à faire des recherches et des castings que l’intégralité du SSC (service de sécurité corporatiste)pour assurer la sécurité de tous les citoyens du secteur, et au vu du marché qu’ils couvrent, ça n’étonne personne…
Pour qui sait y naviguer, le catalogue des Holos disponible est quasi infini. Et d’une variété à parfois littéralement faire peur.
Vous avez toujours voulu voir un shistavanien prendre du bon temps avec deux advozses sous le regard d’une dug ? Il y a de fortes chances que vous trouviez votre bonheur.
Si, si.
Alors bien-sûr, le secteur corpo renouvelle à l’infini également les concepts qui marchent depuis des millenaires.
Le principal étant les Holos Twi’leks.
Bizarrement on trouve beaucoup beaucoup beaucoup d’holos avec au moins une à deux protagonistes twi’leks et beaucoup moins avec des males twi’leks… on se demande bien pourquoi.
Le fait est que, pour continuer à vendre ce type d’holos, les corpos n’hésitent plus aussi bien à mêler les espèces les plus diverses que de varier les lieux de tournages pour miser sur l’originalité ou/et l’exotisme.
Ainsi on a pu avoir la célèbre série d’Holos de la Corporation Holove™ acheter une lune de la bordure afin de l’aménager intégralement comme plateau de tournage et… nous en arrivons à ce qui fâche.
Le contenu suivant est classé pourpre selon les autorités impériales du Comporn
Le secteur Corporatiste ne s’arrête pas là (en même temps il n’est pas arrêté pas grand-chose).
Loin de respecter la distance appréciée par son voisin impérial sur les mises en scènes et «scénarios» basées sur les instances impériales, le secteur corporatiste a littéralement crée une branche spécialisée dans ce type de porno.
On ne compte plus le nombre d’holos basées sur le vil agent du BSI et ses méthodes spéciales d’interrogatoire, les holos sur ce qu’il se passe dans les douches des stormtroopers, la cour de Coruscant la nuit, ou bien encore les célèbres cellules de détention de destroyers et leurs geôliers spéciaux.
Récemment une nouvelle vague commence à prendre de l’essor avec l’arrivé sur le marché d’holos mettant en scène des rebelles soit en position avantageuse sur les impériaux, soit, évidement, complétement à leur merci.
Bien évidemment, le Comporn n’a pas du tout, mais alors du tout, apprécié cette licence artistique sur une actualité dejà compliquée à justifier aux citoyens.
Ceci étant, la diffusion des cartouches étant normalement réservée exclusivement à l’espace corporatiste, le secteur Corpo s’est déclaré incompétent pour la gestion de la contrebande en territoire impérial.
Bizarrement le Comporn n’a pas souhaité s’exprimer publiquement sur cette affaire…
1 commentaire:
Et les holos de gizkas, personne n'en parle, mais elles sont classées noires, elles, et ça choque personne!!!! Noooon, bien sûr ! On préfère que des hommes en robe de bure s'en prennent à de jeunes enfants.
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