Radio Dianoga: On est ici et on vous voit

--- Bon alors les petits scurriers ? ça vous fait quoi la liberté ? Nous non plus on a pas l’habitude, ça nous fait tout bizarre bizarre comme une holo où Sa Grande et Magnifique Seigneurie Merveilleuse Vador sourirait. Ouais hein… malsain un peu. . --- On suppose que vous avez tous vu la belle retransmission en provenance de Damperio concernant l’avenir du secteur. Ça devait être super intéressant mais…NOUS on a relevé un truc que PERSONNE n’avait vu. Blast ils ont du matériel pour retransmettre les damperis ! Mais qui sont-ils vraiment ?--- Notre point hebdomadaire sur la flotte rebelle de Riva. Depuis que l’Empire a décidé de se barrer de chez nous, ça doit être très calme. Voir même ennuyeux . Du coup on se disait que ça serait sympa de commencer à tourner un mélange entre « Vaisseaux en perdition » et « Les feux de la Passion de Correlia ». Un truc passionnant qui se passe au sein de votre flotte. Histoire de pas trop rester sans rien faire et sans but quoi (on est pas la cour de Sa Splendide Lumiere Brillante Palpatine) … Et puis avec le temps ou vous êtes resté impériaux l’air de rien, on sait que vous savez jouer la comedie. --- Notre décompte des semaines sans intervention de Jolina Khannt voulant nationaliser-redistribuer-gueuler sur les nobles-emmerder des nucléaires est aujourd’hui à 6 semaines. Oui on sait, c’est du jamais vu et c’est impressionnant. Non. On a demandé à ses parents l’air de rien, elle est pas morte.–--- Transmission terminée. Vous pouvez revenir à vos activités prescrites par le ComPorn. ---

27 juin, 2006

Identité



Identité


Je ne suis pas fille de Mandalore.
Je suis Iridonienne.


Je t'interroge Mandalore,
Que voudrais tu ?
J'ai enfin découvert l'action,
J'ai enfin découvert les champs de bataille,
La paix n'est plus.

Dans le tonnerre de ta nuit,
Ils s'agenouillent en soumission.
Un Iridionien n'oublie jamais le combat.

Aujourd'hui tu es mon ennemi.
Sous le ciel nocturne,
Tu chanteras La défaite


Le siècle de Mandalore ne viendra pas.
Nous vivons dans la tempête,
Nous vaincrons dans le tonnerre.

Qui couvre tes arrières?
Dans les ténèbres les traîtres voient.

Aliit



Nu'ni cuyi Mando'ade
Ni cuyi Iridonia'la


Mand'alor Ni gar tioni
Me'copaani?
Ni nari mar'eyce
Ni kyrbej mar'eyce
Nu' naak cuyi

O'r orar be gar ca
Val ceta
Akkanir Irididoni'ad draar digu

Ibi'tuur gar cuyi ner aru'e
Chur ca'tra
Gar ven' laarari Haar nu' parjai


Te sim'olan Mando'ade kaysh nu' cuyi ver ' rolaro
O'r buurrenaar mhi Oyacyi
O'r Orar ven mhi parji

Tion'ad hukaat'kama?

Lo Werdee aruetiise val haa'taylir

26 juin, 2006

Vode An



Kote!
. Kandosii sa ka’rta, Vode an.
Coruscanta a’den mhi, Vode an.
Bal kote, darasuum kote,
Jorso’ran kando a tome.
Sa kyr'am Nau tracyn kad, Vode an.

Motir ca’tra nau tracinya.
Gra’tua cuun hett su dralshy’a.
Aruetyc runi solus cet o’r.
Motir ca’tra nau tracinya.
Gra’tua cuun hett su dralshy’a.
Aruetyc runi trattok’o.

24 juin, 2006

Les poussières d’Iridonia



Les poussières d’Iridonia

Je suis Iridonienne.
Native d'une terre ou l'acide, les vents, les geysers façonnent les corps et les esprits. Nous sommes à l'image de la terre qui nous a nourri. Nous portons dans notre chair, sur nos visages, notre nature, notre vérité. Nous sommes les protecteurs: les Gardiens des Colonies. Les garants de notre culture, de nos origines. Les zabracks de nos colonies sont nos frères. Les pluies d'Iridonia ne baignent plus leurs terres, mais comme pour nous tous, elles coulent dans leurs veines. Chaque ligne, chaque courbe, chaque plein de nos tatouages, rappellent qui nos ancêtres ont été. Elles chantent qui nous sommes, l'histoire de notre Peuple, de notre Planète,
de notre Clan. Notre nom, notre sang se lisent sur nos visages.
Nous prouverons notre valeur.
La Galaxie ne nous oubliera pas.

23 juin, 2006

Vode

Vode

A l’intérieur du cercle, tous étaient frères.


Un seul esprit, un seul corps, un seul cœur.

Diversité, mais unité face à la tourmente, tous cherchaient pourtant, quelque chose de différent.

Et pourtant…. Quand le torrent des cœurs Mandaloriens s’abattit sur la bordure, certains cœurs répondirent dans un même écho. Idée contre idée, esprit contre esprit. Les Mandaloriens cherchent l’âme du combattant, le cœur du guerrier. Jamais ils n’auraient pu penser que d’autres ne vivaient pas comme eux.

Mais ce que le Mandalorien ne trouve pas, par ses actes, il le dévoile. Et les Hommes qui se croyaient lâches, qui fuyaient devant le feu et le tonnerre, devinrent des guerriers.

Non pour l’accomplissement par les armes, non pour connaître leurs limites, mais pour défendre ceux et ce, à qui et à quoi, ils tenaient. C’est l’idée pour laquelle on se bat qui fait la force du guerrier…

Et plus le nombre d’esprits et de cœurs à protéger est important, plus la force est grande…

Les liens se révèlent, les Hommes se découvrent, une unité se crée.

Prions la Force que cela suffise à repousser les volontés inébranlables qui nous font face aujourd’hui. Car eux, ne failliront pas.

20 juin, 2006

Koz Kirath



Koz Kirath

20 ans, Peau ambrée, lignes de tatouages noire sur le visage, yeux verts très clairs, cornes sculptées et taillées. 1,95 m Tatouages traditionnels noirs sur tout le dos l’épaule et le bras droit.

Native d’Iridonia, elle voyage très jeune, mais reste très attachée à son monde d’origine sur lequel elle retourne fréquemment. Bon pilote, croyant plus dans le bon vieux Datari que dans les idéaux préconçus. Son problème récurant est sa façon particulière de se mettre dans la merde avec les gens qu’il faut pas emmerder. Et qu’elle risque de revoir un jour…

C’est pas que la diplomatie ça l’intéresse pas, c’est juste qu’en temps de crise il faut aller vite et dire les choses comme elles sont. Le problème c’est son estimation de « temps de crise ». Bien sur qu’elle peut faire les choses proprement et sans bavures, mais bon… s’il faut aller vite, on va à l’efficace et on en parle plus. Ce n’est pas en balançant des fleurs qu’on gagne des batailles.
Elle croit bien plus en la galaxie, qu’aux gens qui la compose… et quand elle s’énerve, elle a tendance le dire à tord et à travers. Sa perception toute particulière du respect que l’on doit aux gens / supérieurs, fait que souvent elle ne s’encombre pas de la hiérarchie habituelle, mais plutôt de l’estime ou pas qu’elle leurs porte.

Citation:
-« Ouais c’est vrai, tu pourrais croire que t’as tes chances contre moi. Vous êtes plus nombreux, mieux équipé et tout ça… Mais tu sais quoi? c'est moi qu'a t'as en face... tu veux y aller, ou j'illustre ton problème?

La pénombre du premier jour....


Les astroports déversaient les voyageurs en vagues régulières.
Les bâtiments s’élevaient haut sur la terre de Séril.
Le soleil faisait luire les tours de la cité républicaine.
Les rues, flots ininterrompus d’êtres intelligents.
La foule semblait ne jamais se tarir. Tout coulait à flot.
Ce jour, le pauvre côtoyait le riche,l’enfant parlait au vieillard.
Le fils de la bordure à celui du noyau.
Les transactions n’avaient pas de fin.
Le cœur de la cité battait.

Une brise, une ombre sur le soleil.
Le ciel s’est obscurci. Le soleil a cédé sa place, les nuages se sont écartés.
Le tonnerre tomba avant la foudre.
Des éclairs vivants se déversèrent dans les rues de Séril.
La pluie fut brutale, sans pitié. La nuit était tombée d’un seul mouvement, sur
un seul ordre.
La cité s’embrasa, les hurlements et les bruits de courses rythmaient les secondes.
Le temps n’avait plus d’importance, pas plus que la raison.
Aucune des constructions ne fut épargnée et ce, dans un souffle de flammes et un bruit d’ouragan.
De partout jaillissaient les ombres couvertes de métal, sans nombres et sans visages.
Sans peur surtout.

Au milieu d’un chaos comme jamais les étoiles qui virent naître la cité n’en avaient vu.
Ils jaillirent du ciel, et jaillirent de la terre. La poussière emplit l’air, la fumée couvrit le sang. La mère perdit l’enfant, le mari son épouse.
Le sang remplaça l’eau des fontaines de Séril.
En un seul souffle. En un seul mot.
Tout n’était que fuite et course. L’on courait pour échapper à la mort en se jetant
dans ses bras.
Et partout des soldats. Morts pour la plupart. Morts, sans avoir pu même voir ceux
qui les frappaient. Ils ont donné leurs vies, nul n’a sauvé leurs âmes.
Les vaisseaux, envahirent les rues de la ville. Les habitants couraient. Ils se ressemblaient, descendant plus profond dans les entrailles de la cité qui ne les avait pas protégés. Sous l’eau qui ruisselait des parois branlantes des tunnels.
Espérant un refuge au milieu des décombres.
Sans lumière...