Radio Dianoga: On est ici et on vous voit

--- Bon alors les petits scurriers ? ça vous fait quoi la liberté ? Nous non plus on a pas l’habitude, ça nous fait tout bizarre bizarre comme une holo où Sa Grande et Magnifique Seigneurie Merveilleuse Vador sourirait. Ouais hein… malsain un peu. . --- On suppose que vous avez tous vu la belle retransmission en provenance de Damperio concernant l’avenir du secteur. Ça devait être super intéressant mais…NOUS on a relevé un truc que PERSONNE n’avait vu. Blast ils ont du matériel pour retransmettre les damperis ! Mais qui sont-ils vraiment ?--- Notre point hebdomadaire sur la flotte rebelle de Riva. Depuis que l’Empire a décidé de se barrer de chez nous, ça doit être très calme. Voir même ennuyeux . Du coup on se disait que ça serait sympa de commencer à tourner un mélange entre « Vaisseaux en perdition » et « Les feux de la Passion de Correlia ». Un truc passionnant qui se passe au sein de votre flotte. Histoire de pas trop rester sans rien faire et sans but quoi (on est pas la cour de Sa Splendide Lumiere Brillante Palpatine) … Et puis avec le temps ou vous êtes resté impériaux l’air de rien, on sait que vous savez jouer la comedie. --- Notre décompte des semaines sans intervention de Jolina Khannt voulant nationaliser-redistribuer-gueuler sur les nobles-emmerder des nucléaires est aujourd’hui à 6 semaines. Oui on sait, c’est du jamais vu et c’est impressionnant. Non. On a demandé à ses parents l’air de rien, elle est pas morte.–--- Transmission terminée. Vous pouvez revenir à vos activités prescrites par le ComPorn. ---

30 octobre, 2006

Signalitique Zabrak pour les woorts



- « J’suis d’accord avec ma grand-mère…. C’est mauvais de fumer... Parc’qu’y pas de fumée sans feu, et que le feu j’ai bien envie de le mettre à ces woorts de Sith. Faut dire que j’ai pas la Fore avec moi, chaque fois que je veux leur faire un peu mal, y a toujours un gars un peu plus caisse que moi, qui me susurre que c’est pas une bonne idée. Jusque la c’est pas trop un problème, mais en général, y m’quitte plus des yeux (ou de l’œil, ou de l’appendice oculaire, ou de la vision par la Force, etc.…) des que j’expose la subtilité des représailles à venir. Faut dire qu’ils s’donnent des moyens pour me convaincre… Entre les Maîtres Jedi et Mandalore, y m’font la totale à peu de frais pour m’convaincre d’lacher l’affaire. En dehors du petit lieutenant Carve qu’a pas voulu que je me tape un basilik, histoire de dégager un peu les rues de Séril, y a aucun p’tit gars qui a osé me dire que fallait pas y aller. J’ferais juste un dernier petit commentaire : Les pâtisseries Kuati c’est cher et j’doute qu’on puisse gagner une guerre en offrant ce genre de truc à l’ennemi… Et les gars, soyez sympa, laissez moi expliquer aux Sith, que fumer c’est pas bien... J’vais essayer d’être plus claire… C’est pour le bien des petits enfants de Kuat, faut pas les priver de leurs goûter...Dans cette optique, ça s’rapproche du Jedi, non ? »

Sentiments partagés


- « Les Jedi doivent avoir un truc avec les princesses… ouais, et pas qu’un peu... D’ailleurs sans trop m’avancer, j’dirais avec les royautés en général... J’peux pas dire que je connaisse beaucoup de rois, de reines ou de princesses... Mais pour c’que j’en sais, y a jamais très loin un Jedi qui les « aide » à « vivre mieux ». Entre Kavar sur Ondéron (genre altruiste qui aiderait la princesse à se mettre au lit, des fois qu’elle y arrive pas toute seule…) , Kasi sur Valipar qui arrange les coussins de la jeune personne royale, et Tovara qui fait d’la réparation de capsule de secours avec une p’tite noble…C’est qu’en plus d’oublier qu’y a pas qu’des nobles dans la galaxie, les Jedi devraient commencer a apprendre à mieux contrôler "leurs sentiments" … Ca fait désordre... Enfin moi c’que j’en dis…»

29 octobre, 2006

Ven'aay'han




Parfaite commémoration future
*
*
Coruscanta ven haa’tayli carud be gar akaan’adee Mand’alor,
Coruscant verra la fumée de tes armées Mandalore,
Bal ven sushi laar be gar verdae ,
Et entendra le chant de tes guerriers,
A’ be’chaaj , Mand’alor, be’chaaj’ne.
Mais éloignés, Mandalore, tres éloignés.
Mhi ja’haili ...
Nous surveillons ...

Mhi ven nau’u cuun parjai.
Nous forgerons notre victoire
Gar skira ven tratto’ko.
Ta vendetta échouera
Gar verdae ne ven haa’tayli Coruscanta.
Tes guerriers ne verrons pas Coruscant.
Mhor verdae ne ven ceta .
Nos guerriers ne s’agenouilleront pas .

Echoy Mand’alor echoy
Pleure, Mandalore, pleure

Cerar Umate Ne haa’talyli gar vedae
Le mont Umate ne verra pas tes guerriers
Bal'mhor adee haa’talyli kare be gar me’suum
Et nos enfants verront les étoiles de ton monde
Bal ven laarari parjai laam gar vheh .
Et chanterons la victoire sur ton sol.

13 octobre, 2006

Le Selenoren

"Une des coutumes majeure de la société Zabrak, est le rite de passage à l’age adulte qui se nomme Selenoren. C’est un événement majeur et unique dans la vie de tout Zabrak, et tout les Clans et toutes les Colonies s’y adonnent. Les Zabraks ne parlent pas de ce rituel aux non Zabraks, et même entre eux, ils ne laissent pas beaucoup filtrer d’informations sur leur Selenoren personnel. Cette cérémonie est une cérémonie sacrée, et toute parole blasphématoire ou tout écrit trahissant le caractère sacré de celle-ci, voit son auteur banni de la société Zabrak. Chaque Clan organise le Selenoren pour ses enfants chaque année ou chaque deux ans.

Il existe trois destins possibles pour le Zabrak passant le Selenoren, soit le jeune Zabrak réussi, soit il échoue, soit il le refuse.

Ce rite se compose de trois épreuves qui se déroulent dans les trois mois après l’ouverture officielle de l’épreuve par le Clan qui l’organise. Une épreuve physique, une épreuve mentale et une épreuve sociale. Les épreuves sont choisies par les parents en fonction des capacités de l’enfant et des Selenoren précédant dans la famille. Les Hommes le font passer aux garçons et les femmes le font passer aux filles. C’est aux parents aussi avec l’accord du clan à choisir le moment ou l’enfant et prêt à passer l’épreuve qui le rendra adulte.

L’épreuve physique peut être un combat, un exploit physique ou une course d’endurance. Par exemple, il peut être demandé à l’enfant de monter chercher un œuf ou un os d’un prédateur à la surface d’Iridonia, ou dans une zone particulièrement hostile d’une Colonie, avec une corde, quelques pitons et un couteau. Cette épreuve a pour objectif de prouver la maturité physique du jeune Zabrak.

L’épreuve mentale se compose d’un exercice tel que le calcul de routes hyperspatiales sans assistance informatique ou droïde quelconque, d’une récitation complexe en vieux zabraki, d’une improvisation de chant de guerre sur une période historique donnée, d’une réparation électronique sur un appareil inconnu, ou d’une résolution de problème logique en temps limité. Cette épreuve permet de prouver sa rapidité d’esprit et sa capacité d’analyse, de déduction et son application dans les domaines courants de la vie des Zabraks.

La troisième épreuve, est considérée comme la plus importante. Il s’agit de l’épreuve sociale.

Elle vise à démontrer la capacité de l’enfant à s’adapter et à interagir dans un groupe, ce qui est un des fondements de la société Zabrak. Il peut s’agir d’une épreuve de chasse en commun, de création artistique ou de réalisation commune d’un projet. L’intérêt provient du fait que le jeune Zabrak doit devenir complémentaire des autres Zabraks passant l’épreuve, et doit apporter ses compétences afin de prouver sa capacité a intégrer et à renforcer la cohésion de groupe.

Si les trois épreuves sont réussies, le jeune Zabrak est conduit dans un cercle formé par les membres de son Clan, et au son des percussions rituelles, il sera tatoué par trois membres adultes. Le tatouage traditionnel est long, pénible et très douloureux et les jeunes Zabraks ne s’évanouissant pas pendant l’opération sont rares. Il est de coutume que les Sorciers donnent un os à coincer entre les dents, pendant que deux autres maintiennent l’enfant.

Les échecs au Selenoren sont rares, mais ne sont pas mal vu. L’enfant reste dans le Clan mais n’est pas tatoué, il rajoute le préfixe « ke » devant son nom, et restera à jamais un mi-adulte, mi-enfant. Le Clan est quelque peu déshonoré par l’échec, puisqu’il est incapable de mener ses enfants vers l’age adulte.

Le cas de figure le plus particulier est celui des enfants refusant de passer le Selenoren. Ils participent aux festivités du Selenoren, mais portent le titre de « Tlestri ». Les « Tlestri » après avoir reçu des cadeaux de chacun des membres de leurs familles, quittent le clan et ne sont plus autorisés à leur adresser la parole. Ils sont toutefois considérés avec autant de respect que les jeunes adultes, leur refus étant un choix. Cependant ils ne sont plus considérés comme faisant parti du Clan, et doivent oublier leur ancienne vie."

Encyclopedia galactica, Coruscant.

L'honneur du Clan...

Sans commentaires....

La chasse au Zur

11 octobre, 2006

La Force et les Barrates...

« - Les guerres galactiques c’est chiant… Au moins sur Iridonia, tu sais où est ton ennemi. T’as pas à t’poser des questions existentielles, c’est en général en face de toi, des griffes, des dents, de la chitine.. Tous les signes y sont... Faut vraiment être un bantha pour se planter... Quoique si tu te plantes, tu fini comme un bantha, mais plutôt genre bantha burger… Ouais c’est bien plus clair. Ils te foutent dessus, tu leur rend de ton mieux et t’espère que ça leurs servira de leçon. C’est quant même moins prise de tête.

Avec les Sith c’est différent. Un peu le même problème qui s’passe après une soirée avec des potes à boire trop de jus de juma, on s’rappelle plus qui a cogné qui, mais on sait que ça fait mal. A croire que ces gars la, ils sponsorisent la moitié des alcools de Nar Shaada. Avec les Mandaloriens, c’est pas un problème... C’est le jeu, on se fout sur la gueule, ils sortent le blaster, j’fais pareil, et après on compte les points. Et quant ils sortent plus gros (ça peut arriver, j’comprends qu’on leurs foutent la trouille..) on trouve le moyens de leur en coller plein la gueule, et je dirai presque qu’ça reste entre gens civilisés... (Peut être façon bordure, mais civilisés…parce qu’un Tystel MK III avec le petit doigt en l’air tu le manies sacrement moins bien, c’est pour ça qu’ils en ont pas dans le noyau… chacun sa notion de civilisation…)
Mais ces saloperies de Sith, ils ont cette emmerdante habitude de venir s’incruster dans tes moteurs ioniques dès que ça barde quelque part. Et ces connards la, ils changent les règles et tu le sais que quand tu peux pas faire autrement que de jouer... Avec eux, le vrai combat il est pas la où ça explose et où ça tire, mais dans ta putain de tête. Le champ de bataille c’est à l’intérieur que ça se passe, comme disent les Jedi… C’est plutôt rassurant pour eux (après tout ils ont un esprit en ferrobéton… ils supportent Atris) mais même si t’es un « utreekov », une tête vide quoi, t’as même pas l’avantage d’y couper... C’est un peu comme si tu commençais à jouer au Pazaak selon les règles du Sénat et que d’un coup au moment ou tu vas gagner la manche, le gars sort son blaster et t’explique que maintenant on joue selon les règles de Nar Shaada.

Y a quand même des trucs que je saisi pas bien avec les Sith... Ces gars là, ils veulent j’ sais pas quoi, mais ils le veulent… Et visiblement ils nous utilisent pour ça... Ok… Jusque la, ça me va. Ils veulent pas se battre direct, et passent par les Mandaloriens, parce qu’ils ont la trouille qu’on sache qu’ils sont la... J’peux saisir... En fin de compte c’est pas plus difficile à comprendre que les jeunes qui puent les pastilles de sel anduvien à trois ou quatre kliks, parc’qu’ils veulent pas qu’on sachent qu’ils ont fumé. Mais à la longue, ça fini toujours par se savoir... et au bout d’un moment t’es bien obligé de déballer la vérité. Mais si les Sith ils veulent la galaxie rien que pour eux, j’ comprends pas pourquoi ils veulent d’une galaxie qui sera en miettes après les Mandaloriens. Là ça me dépasse… Sans compter qu’après, on finira par savoir que le sel anduvien, ça couvre l’odeur des barrates, on s’fera moins avoir… A moins bien sur que la grande tromperie Sith ça soit un truc genre : Vous pensiez qu’on cachait l’odeur de barrates ? Bande de Nerfs ! On a juste bu du jus de juma ! … En clair, aucun intérêt…

J’sais pas quoi en penser, mais j’ai l’impression que tout ça, ça concerne davantage les Jedi que nous autres, question de philosophie de la Force et tout ça. J’crois que je vais me contenter de leur faire ravaler leurs sels anduviens, et les envoyer au lit en les privant de déssert... Quand les motivations de gars m’échappent, des fois j’essaye pas de comprendre… J’essaye juste de les arrêter… C’est comme tout, si t’as l’intelligence de savoir te planquer pour fumer, t’as l’intelligence de pas cramer tes paquets de barrates. … Et puis de toute façon, comme disait ma grand-mère… C’est mauvais de fumer…. »

Y a des choses qui changent… et des choses qui changent pas…

- « Quand j’étais gamine, j’étais presque adorable… Ouais, presque… ça dépendait pour qui... Ceux qui étaient pas d’accord avec moi, ben en général, ils ravalaient leurs cornes… en toute amitié bien sur… J’crois que j’ai fait rendu fous mes parents... Ok, j’étais pas toute seule, Cos m’a un peu aidé... Même si celui la, fallait à chaque fois qu’il me lime les cornes quand on se faisaient choper. Il était capable de prendre l’air le plus innocent de la galaxie et de me regarder d’un air désapprobateur comme jamais (j’viens de comprendre pourquoi il est devenu Jedi… l’air innocent et désapprobateur… ça me rappelle Tovara et O’hsraat’ika…).
Pourtant on s’est bien marré tout les deux… faut dire que mes parents ont laissé pousser mes cheveux pour qu’on arrête de jouer à : « Cos est un Jedi, il est à deux endroit a la fois… »..
Ils avaient pas calculé qu’avec une capuche, ça marchait aussi bien.
On était rodé comme jamais. Un peu trop pacifiste le Cos, un peu chochotte aussi… Même si quand t’en parle aujourd’hui, il te dira que c’est moi qui était comme ça… mais avec ses mains sur ses yeux dés que ça bardait, qu’est ce qu’il en sait lui…. J’avais le truc pour me trouver dans des situations « originales »... Pendue par un bras au dessus de la baraque, accrochée par un pied à un arbuste des parois de canyons, sur le dos d’un camarade tombé par accident sur le ventre... (Si, si, c’était un accident… Cos de toute façon il se souvient pas, il a la tête pleine de trucs inutiles.)
J’crois que la fois ou j’ai vu ma mère changer de couleur, c’est quand j’suis allé chasser le Zur, avec un couteau à viande… Cos m’avait expliqué que si mon couteau était pas en lumière, ça marcherait pas… Mais rien que pour lui prouver que c’était pas vrai, j’y suis allé… Faut dire qu’a cet age là, le Zur, y f’sait ma taille… Morale de l’histoire… Cos raconte des conneries… le Tystel de ma mère a plutôt pas mal marché, et moi j’ai dit que c’était la faute à Cos… Mais moi je suis pas Jedi, et ça par contre, ça a pas marché… Mais promis, un de ses quatre, j’m’en fais un au couteau à viande.
Cos, y passait son temps à essayer de faire mieux que moi... il a même essayé de faire durcir de la terre de zag sur ses cornes, pour paraître plus grand… ouais, il avait pas pensé que la terre de zag , ben c’est rouge.. Et ça coule quand c’est humide... on s’en servaient pour faire de faux tatouages, avant nos Selenoren… Niveau réalisme, c’était aussi frappant qu’un récit de pilote Corellien…
Ceci dit, Cos quand il décidait quelque chose, il le faisait pas a moitié… un jour on s’était mit dans la tête de s’entraîner pour quand on aurait nos zhabokas… Donc on est allé « emprunter » des tuteurs en duracier à l’oncle Kooth… Et on a commencer à s’entraîner sur une poutre, puis, Cos il m’a dit que il allait me battre parc’qu’il était un garçon… Bilan : une corne cassée pour lui, et une bosse qui me rajoutait une corne pour moi… Ca, ça aurait rien été si le zhaboka... Enfin… le tuteur de Cos lui avait pas échappé pour atterrir dans la gueule de Sayla... Elle a eu un œil rouge pendant trois semaines… (De toutes façons elle faisait du gringue à Cos, alors c’était encore plus drôle…) Enfin bon, le mien a atterri dans le boîtier de contrôle de la porte, et oncle Kooth a pas pu sortir son speeder pendant deux jours… Sur le coup, j’avoue qu’on savait pas trop quoi raconter… Mais l’attaque de prédateur ça nous a paru, sur le moment, une bonne alternative... Ca a tellement fait marrer ma grand-mère, qu’on a pas trop chargé. Et pour une fois on se couvraient mutuellement, trop rare pour être oublié ça…
Le truc qui me fait marrer encore maintenant quand je revois Cos, c’est quand je me rappelle que j’ai réussi a lui faire manger des larves de raal, en lui disant que ça permettait de voir les ancêtres… Mon père a rappliqué quant il en avait plein la bouche, et comme Cos pouvait pas lui expliquer ce qu’il faisait, mon père l’a fait vomir pendant un bon quart d’heure…
C’est sur que maintenant, quand tu le vois négocier la paix galactique en robe Jedi avec un Ithorien, et que tu repenses a ça… t’as du mal à être impressionnée… »

Mythologie et particularités:

Mythes fondateurs:

"On sait peu de choses sur les mythes fondateurs des Zabraks, mais il est à supposer, que très tôt ils furent guidés par leurs Sorciers et Chroniqueurs. La quasi intégralité de l’Histoire Zabrak se transmet oralement par les chroniqueurs qui deviennent les gardiens de l’Histoire. L’on a pu relever de nombreux récits faisant références aux ancêtres illustres d’un clan ou d’un autre, qui s’attachant à un individu lui transmettrait ses valeurs et une partie de sa force.

Les Sorciers semblent eux, détenir une partie secrète de l’Histoire Zabrak, bien plus liée au mysticisme. Les seuls écrits sont d’ordre purement administratifs ou techniques.
Dans l’histoire Zabrak il existe cependant un mythe selon lequel deux héroïnes, Ath et sa sœur Nath, accompagneraient les défunts dans l’après vie, ou les plaines d’abondance, mais l’origine de ce mythe reste inconnu. Les noms de Ath et Nath restent cependant beaucoup donnés encore de nos jours.

Les cornes :

Un art existe encore aujourd’hui au sein de la société Zabrak, celui de la lecture des cornes. Il est pratiqué par les sorciers des Clans et, est un art divinatoire mineur.
Il permettrait selon les anciens, de découvrir les lignes de destin propres à chaque Zabraks, et les qualités qu’il doit développer afin d’y parvenir.
Les cornes des Zabraks sont aussi perçues comme particulièrement attirantes pour les membres du sexe opposé, et peuvent même être mises en valeur par des sculptures, définissant le statut marital du porteur, mais aussi parfois seulement dans un but esthétique

Le tatouage :

Les tatouages Zabraks sont des tatouages permettant d’indiquer le Clan et la fonction de l’individu dans le Clan. Ils permettent une différenciation inter Clans mais indiquent aussi le statut social, et l’expérience de la vie de celui qui les porte. Ils sont une grande fierté du peuple Zabrak. Un Zabrak préférerait mourir plutôt que de se débarrasser de ses tatouages. Traditionnellement les tatouages sont effectués avec le sang ou l’encre de certains des plus gros prédateurs de la planète, et effectués à l’aides d’os ou d’arrêtes enfoncés dans la chair. Le procédé est excessivement douloureux et nécessite souvent l’aide d’une seconde personne. Les plaies sont ensuite désinfectées avec un alcool spécifique nommé Mus, jusqu'à cicatrisation complète. Les Zabraks affirment que la douleur du tatouage leurs rappelle la douleur des terres qu’ils habitent, leurs conditions de vie très dures, et la douleur pour la survie. Ils portent ainsi les difficultés de leurs existences dans leurs chairs, en hommage à leurs ancêtres.
Au temps des guerres entre les Clans, il existe une légende prétendant que les prisonniers était débarrassés de leurs tatouages et renvoyés chez eux par leurs ennemis. Déshonoré le Clan n’avait d’autre solution que de les mettre à mort, quant les prisonniers ne le faisaient pas eux-mêmes, afin de laver l’honneur du Clan.
Proposer de dissimuler les tatouages d’un Zabrak, ou de les lui ôter est particulièrement insultant, et revient à nier toute son identité, et son vécu.

Le mariage :

Le mariage est pratiqué dans la société zabrak, l’union est en général pratiquée entre un male et une femelle, mais il peut exister des exceptions. Les clans n’ont pas d’importance dans le choix du conjoint. Cependant il existe un cas très particulier, propre à la race zabrak. Il est dit qu’il existe un zabrak pour chaque zabrak, un individu lié a un autre individu. Aucun zabrak ne connaît d’avance celui qui lui est destiné, et bon nombre de zabraks ne croisent jamais « l’Elu/e ». Quand c’est le cas, les deux êtres se reconnaissent immédiatement, et savent instinctivement qu’il s’agit de « l’Autre ». Le sentiment ressenti alors est irrévocable et ne peut être nié. Généralement, de cette rencontre découle une union. Le cas de zabraks rencontrant l’Elu/e est tellement rare que des festivités d’une semaine sont organisées pour fêter l’événement, et selon les sorciers/chroniqueurs, c’est un excellent présage pour l’avenir des clans. C’est de ce type d’union, que, selon les légendes, les plus grands clans seraient issus. Et c’est de ces unions que seraient nés, les plus grands héros zabraks."

Encyclopedia Galactica, Coruscant