Radio Dianoga: On est ici et on vous voit

--- Bon alors les petits scurriers ? ça vous fait quoi la liberté ? Nous non plus on a pas l’habitude, ça nous fait tout bizarre bizarre comme une holo où Sa Grande et Magnifique Seigneurie Merveilleuse Vador sourirait. Ouais hein… malsain un peu. . --- On suppose que vous avez tous vu la belle retransmission en provenance de Damperio concernant l’avenir du secteur. Ça devait être super intéressant mais…NOUS on a relevé un truc que PERSONNE n’avait vu. Blast ils ont du matériel pour retransmettre les damperis ! Mais qui sont-ils vraiment ?--- Notre point hebdomadaire sur la flotte rebelle de Riva. Depuis que l’Empire a décidé de se barrer de chez nous, ça doit être très calme. Voir même ennuyeux . Du coup on se disait que ça serait sympa de commencer à tourner un mélange entre « Vaisseaux en perdition » et « Les feux de la Passion de Correlia ». Un truc passionnant qui se passe au sein de votre flotte. Histoire de pas trop rester sans rien faire et sans but quoi (on est pas la cour de Sa Splendide Lumiere Brillante Palpatine) … Et puis avec le temps ou vous êtes resté impériaux l’air de rien, on sait que vous savez jouer la comedie. --- Notre décompte des semaines sans intervention de Jolina Khannt voulant nationaliser-redistribuer-gueuler sur les nobles-emmerder des nucléaires est aujourd’hui à 6 semaines. Oui on sait, c’est du jamais vu et c’est impressionnant. Non. On a demandé à ses parents l’air de rien, elle est pas morte.–--- Transmission terminée. Vous pouvez revenir à vos activités prescrites par le ComPorn. ---

28 septembre, 2006

Une étoile de plus dans la galaxie...



Merci à Pico de Labouata (Le blog d'O'Hsraat'ika, que je vous conseille vivement) , pour cette illustration qui en toute objectivité, vaut le détour... Certaines mauvaises langues pourraient dire que le sujet y est pour quelque chose, mais elles n'oublieraient pas que sur Iridonia on est susceptible, et que oui, évidement, le sujet y est pour beaucoup...

22 septembre, 2006

Zabrak :






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"Les Zabraks sont originaires d’Iridonia, se sont des humanoïdes de grande taille, allant de 1,60 à 2,10 mètres.
Au sein de la population Zabrak il existe plusieurs sous-espèces. Ces sous espèces, sont différenciables entre autres par la différence d'agencement des cornes des individus, ainsi que par les différences de couleurs. Les couleurs de peaux pouvant aller du beige très clair au noir très sombre. Les cornes des males sont plus grandes que celles des femelles, et il est relativement courant de les sculpter.
Le visage et le corps des Zabraks sont également tatoués, selon des motifs différentiels en fonction de l’age et de la caste. Les tatouages se faisant plus nombreux et complexes avec l’age, il est fréquent que les plus âgés en soit totalement couvert. Le premier tatouage est effectué pendant le rite de passage à l’age adulte, le Selenoren.
Les Zabraks sont connus pour être très résistants aux conditions climatiques les plus dures, ainsi que de redoutables chasseurs et des combattants hors pairs.
Ils sont aussi connus pour avoir un esprit indépendant, être pionniers dans l’âme, et être de fortes têtes. Les Zabraks sont forts, fiers, confiants, et possèdent une volonté de fer, de plus, ils restent convaincus que rien n’est impossible.
Les Zabraks parlent le Zabraki, mais tous parlent également le basic. Il existe plusieurs dialectes de Zabraki en fonction des colonies d’origine, mais tous se fondent sur la même base.
La société Zabrak est une société très hiérarchisée, se fondant sur plusieurs castes interdépendantes les unes des autres, et sur une sous hiérarchie interne se fondant sur l’expérience, et sur l’age. Certaines castes pouvant être plus respectées que d’autres selon leur implication dans la culture Zabrak. Ainsi les « Ouvreurs de voie de Talus » sont particulièrement respecté par les pilotes et explorateurs, car ils ont permis l’ouverture de plusieurs routes hyperspatiales ayant favorisé la colonisation. Les « chroniqueurs et/ou Sorciers » sont écoutés car ils guident les Clans dans toutes les communautés Zabraks. Les « Protecteurs » sont ceux qui écartent et traquent les plus dangereux prédateurs, afin de garantir la sécurité des Clans.
Les Zabraks s’identifient au nom de la planète dont ils sont originaires, ainsi un Zabrak d’Iridonia, sera un Iridonien, et un Zabrak de Lorista, un Loristien.
Cependant, les colonies Zabraks sont toutes indépendantes l’une de l’autres, bien que les natifs d’Iridonia considèrent être, d’une certaine façon, les protecteurs des colonies.
Les conditions de vie, étant difficiles, la durée de vie moyenne d’un Zabrak sur sa planète n’excède que très rarement les soixante dix ans, mais s’avère bien plus longue dans des conditions plus clémentes.
Les Zabraks sont aussi connus pour être une des premières races à avoir voyagé dans l’espace, et à en avoir exploré de nombreux recoins. Ayant atteint un niveau technologie élevé très tôt, ils ont rapidement colonisé l’espace alentour. Les huit planètes colonisées, se trouvent dans la bordure médiane et dans cinq secteurs différents, et se caractérisent toutes par des environnements hostiles, tels que Frithia et Lorista. Il existe aussi des communautés Zabraks, sur d’autres mondes déjà habités tels que Talus, Corellia, ou Nar Shaada. "

Encyclopedia Galactica, Coruscant

Iridonia et les Colonies






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"Iridonia est la planète d’origine des Zabraks. Elle se situe dans la bordure extérieure, non loin des Marches silencieuses.
Iridonia possède un Soleil et deux Lunes. Cette planète inhospitalière est balayée par des vents violents atteignant plus de deux cent kilomètres à l’heure et pouvant atteindre bien davantage en atmosphère haute.
Sa surface est parsemée de profonds canyons balafrant des terres arides où seules quelques forets apparaissent dans de très rares vallées.
La surface est peuplée de prédateurs de très grande taille, aussi bien terrestres que volants, ayant la particularité de résister aux fortes pluies acides balayant les terres. Des geysers de plusieurs centaines de mètres constellent également la surface, et surgissent de manière souvent à la limite de l’imprévisible.
Iridonia possède également des mers acides ou vivent de redoutables prédateurs dont les plus grands peuvent avaler des bâtiments entiers. Les mers composées d’eau et les sources d’eau potable, et rivières se trouvent pour la plupart dans des cavernes de taille variable dont les entrées se trouvent dans les canyons.
Les Zabraks vivent dans des endroits reculés tentant temps bien que mal de survivre à l’environnement. Ainsi l’essentiel de la vie se passe dans les profondeurs des canyons et dans les rares forets. Cependant même là, les prédateurs sont présent.
L’agriculture a pu toutefois se développer, qu’il s’agisse de gigantesques exploitations verticales, de champs dans des cavernes, ou encore d’exploitations nécessitant peu de lumière au fond de certains canyons. L’élevage est lui aussi développé dans des cavernes ou dans des enclos protégés de l’extérieur.
Les Zabraks d’Iridonia préfèrent élever un mammifère nommé Bukk, afin de pourvoir en nourriture, mais aussi comme bête de monte. Le Bukk est un cousin du Bantha. Le Bantha lui, est beaucoup plus présent sur les colonies.
Le Blok et le Lok sont aussi des proches cousins du Bantha, et sont parfois préféré au Bukk, bien que moins courants.
Un des insectes les plus dangereux d’Iridonia est le Zur. Il est connu pour être très dangereux et particulièrement difficile à tuer. En dehors de son agressivité il est connu pour sa rapidité de déplacement et sa taille, bien supérieure aux insectes courants. Le nom provient du son qu’il émet quant il se déplace dans les canyons.
Les infrastructures industrielles et les astroports se trouvent en général quelque peu en retrait des lieux de résidence. Et sont abrités par des champs de forces s’ils se trouvent trop prêt de la surface, mais jamais à proximités des mers.
Il est étonnant de voir de grandes structures technologiquement avancées au milieu d’un tel paysage, mais les Zabraks ont très tôt trouvés de nombreuses solutions pour palier à la rigueur de leur environnement. Ainsi des villes entières existent dans les canyons, et bien qu’elles puissent paraître technologiquement pauvres, il n’est pas étonnant de trouver des bornes ordinateurs ou du matériel technologique avancé au détour de couloirs parfois taillés dans de la roche. Iridonia est une planète ou l’archaïque côtoie les inventions les plus modernes. Plus par choix culturel que par nécessité. Ainsi les Iridoniens préférerons les matières naturelles pour leurs vêtements et les façons traditionnelles de faire les choses du quotidien, tout en étant pourtant d’excellents pilotes, explorateurs, techniciens, et concepteurs d’armements en tout genre.
Les colonies principales Zabraks sont Talus dans le secteur corellien, Lorista, Sang Tagath et Frithia. Il existe également une communauté Zabrak très nombreuse sur Corellia.
Les Colons de Lorista ont eu des difficultés majeures d’implantations à leurs début par la faute d’un redoutable prédateur nommé Bruth, qui fut par la suite domestiqué en partie et servant de monture de guerre. Les Fliths, fleurs poussant sur les terres arides de Lorista sont parmi les plus belles fleurs connues, et offertes parfois à des personnes importantes pour le cueilleur.
Mais la tache la plus difficile revient aux colons de Frithia qui virent mourir bon nombre de Zabraks sous les griffes des Krags, des prédateurs gigantesques, territoriaux et sanguinaires. Certains parvinrent toutefois à en domestiquer certains.
Les planètes colonisées par les Zabraks sont généralement des planètes aux climats hostiles et pas très éloignés visuellement des paysages d’Iridonia. Mais en général, un peu moins hostiles. Ceci a permis entre autre, une adaptation plus rapide, et la mise en place de solutions face à l’environnement qui avaient déjà fait leurs preuves auparavant. Cependant chaque colonisation rapporte un flot d’histoires, de héros, pionniers et embûches propres à la nouvelle planète colonisée. "

Encyclopedia Galactica, Coruscant.

20 septembre, 2006

La voix des ancetres

« - Quant seule Iridonia était la Terre des Zabraks, de grandes histoires sont nées pour créer notre Histoire. La Terre nous a créé à son image, et les ancêtres qui nous ont précédés, car ils en étaient plus proches, connaissaient la force du vent et des marées.
Ils connaissaient la protection et la chasse. La poussière d’Iridonia coulait dans leurs veines.

Hakk Voth, fut de cela. Parmis ceux de son Clan, il était le plus sage et le plus courageux. Nul n’eu à se plaindre de ses actions, qui permettaient au clan de croître. Les Chroniqueurs disaient : - « Hakk Voth est tout comme nous, la voie de la terre, il porte le savoir de ses ancêtres et nous véhiculons leurs voix, il applique les préceptes de survie et les enseigne aux plus jeunes. Il est celui qui ouvre les Selenoren, car il n’a pas oublié la douleur et les épreuves, et en a tiré une grande connaissance de lui-même. »

Car bien avant que les notre n’ouvrent des routes vers les étoiles, ceux dont nous descendons, ont ouvert les voies de notre Terre. La faune leur était connue, la flore ne leur était pas étrangère. Ils guidaient les clans dans le maintien de l’équilibre nécessaire à la survie. Hakk Voth était un Blodgath.

Le jour ou la marée avait pénétrée jusqu’à l’abri du Clan de Nath, Sash, la conseillère-compagne vint le trouver.
- « Hakk Voth, l ’Ogam a parlé. Notre Clan est fils de Ath, sœur de Nath, et ton chemin apparaît aux côtés de leur clan. La marée est mauvais présage, Le clan Nath ne doit être détruit car il s’ensuivra alors de grands malheurs pour notre espèce. Tu te dois de les rejoindre Hakk Voth, il en est de notre salut à tous. Que tes descendants puissent faire appel à toi, après que tu aies rejoint Nash et Ath dans les plaines d’abondances. »
Ainsi parla Sash.

Et Hakk Voth quitta son Clan. Il traversa les canyons, appelant son ancêtre Jith pour qu’il l’accompagne, car selon les sorciers, la même force les accompagnait.
Quant Hakk Voth arriva dans les cavernes du Clan Nath, il n’y trouva que mort et destruction, car après la marée de nombreux prédateurs étaient venus se repaître et détruire, car les cavernes étaient désormais les leurs.
Le clan Nath semblait avoir été détruit par le sang d’Iridonia, et par la vie que notre Terre porte en elle.

Hakk Voth s’interrogea. – « L’Ogam a parlé, mais le Clan est détruit. La voix des ancêtres me parait trouble pour la première fois. »

Et il tomba à genoux, car la voix des morts du Clan Nath résonnait trop fort dans son crâne.
Autour de lui, les corps de ses frères et sœurs. Plus bas, ce qui restait parfois encore d’eux.
Hakk Voth savait que seule l’application de la sagesse des ancêtres lui permettrait de comprendre le chemin dévoilé par les osselets.
Et car il était le plus sage, il compris qu’il y avait encore quelqu’un de vivant parmis les morts. Et parce qu’il était le plus courageux, il décida de rester parmis les morts pour trouver le vivant.
La première nuit il du lutter contre le froid et aux premières heures il commença à chercher.
Il déposa chaque corps pour qu’ils retournent baigner dans le sang d’Iridonia.
Mais parmis eux, aucuns survivants.

La seconde nuit, il senti la présence de Jith et écouta ce qui résonnait en lui.
Il tomba à genoux à nouveaux, car ainsi il était plus proche de la Terre qui a vu naître et mourir ses ancêtres, et il leva les yeux vers ciel, car le vent est le souffle d’Iridonia comme la mer est son sang.

Et plus haut, bien plus haut, dans un des arbres secs qui poussent sur les parois de nos canyons, il vit une forme.
Il ne percevait pas de quoi il s’agissait, mais Jith lui vint en aide, et soudain il vit dans la nuit comme en plein jour. Un membre du Clan Nath était là-haut.

Mètre par mètre, il commença l’ascension. Quant il arriva à portée de vue, il senti au fond de lui, une force inconnue jusqu’alors. Il senti le souffle et le sang d’Iridonia l’envahir. Il sut qu’il s’agissait d’Elle. L’Ogam n’avait pas menti.
Le clan Nath, ne fut pas détruit car Hakk Voth trouva Sa Compagne cette nuit la.
Elle fut la nouvelle mère du clan, comme son ancêtre Nath, l’avait été.

Car Hakk Voth n’avait pas douté de la voix de ses ancêtres, et que la sagesse et le courage avait guidé le Blodgath. »

11 septembre, 2006

Exotisme humoristique...

« - Zyloth Domis, j’avais jamais entendu parler ... J’aime bien le nom, on s’attend à trouver plein de trucs dans un secteur qui porte un nom comme ça… Faut dire que c’est toujours moins prévisible que Ord Quelque chose... Rien qu’au nom la, tu sais sur quoi tu vas tomber. J’aime l’imprévu quand je vais quelque part... . Bon c’est vrai que niveau imprévu, j’pensais pas vraiment à un truc Sith ou à un clan majeur Mandalorien...
Mais bon j’suis sure que ça doit valoir le coup de voir ça en live.

Apres tout, on se croirait dans une Holo... Du genre celle qu’on trouve sur Tholatin, à c’qu’on m’a dit… J’vois déjà l’intro... Dommage, je vois pas la fin…

J’me dis que avec un peu de chance, on s’en sortira bien, mais j’suis prête à parier six ou sept cristaux draviens que ça sera pas pareil de leur côté.

J’comprend pas pourquoi, des qu’on s’pointe quelque part, faut qu’ça barde... C’est pas que ça me dérange au fond, mais je fini par me poser des questions quand même...

Le pire, enfin j’me dis, c’est qu’on va tomber sur des races qu’on connait pas, et moi et les espèces dites « belliqueuses et inconnues »... C’est pas vraiment mon trip. J’connais déjà ma grand-mère, et dans le genre on fait pas mieux. J’suis une crème à bon caractère à côté. Fallait pas s’attendre à autre chose de sa part en même temps, une sorcière chroniqueuse, qui t’embrouille l’esprit en moins de deux, en te faisant faire sa lessive… La pire espèce…

Bon j’reviens à Zyloth Domis... Si on commence à croire tout ce qu’on nous raconte là dessus, y a des pillards/pirates/poisseux, dans des vaisseaux qui se traînent. Des gars qui pleurent, des nobles qui aiment les colliers qu’on voit de très très loin (faut croire qu’ils savent pas pour les P.P.P.) et qui on besoin de bâtons qui font pas mal mais qui brillent pour pas oublier les noms de ceux qui se pointent... Un Jedi en vadrouille depuis des plombes, un jeune con qui se prend pour un Sith, mais qui va chercher sa maaammaaannn, parce qu’il a peur de se perdre… Un ou deux clans Mandaloriens qui font la fête au milieu de tout ça, et maintenant on va rajouter un groupe de Lantiliens qui se pointe avec tout pleins de gros vaisseaux et qui essayent de passer discret, pendant qu’un groupe qui apporte les emmerdes plus vite qu’Odan-Ur les bouquins, va essayer de ce mélanger à tout ce petit monde, en essayant d’être aussi à sa place qu’une cannette de Foudre Savarienne dans la besace de Tovara…

Et après on se demande pourquoi j’ai du mal avec cette opération…

J’crois que ça va être un vrai bordel sans nom (Contrairement à ceux de Nar’Shadaa, qui eux en ont des bucoliques.). Mais j’ai un super plan infaillible, qui est la clef de notre réussite, on fait venir Morli avec un Mazer et on lui demande de marquer ses trois points sur la passerelle des vaisseaux amiraux Mandaloriens… On verra ce qu’ils sont capables de faire sans énergie... On peut toujours demander à Elwake, de dresser un procès verbal pour un truc aux navigateurs P.P.P. genre dégoulinage sur console prohibé. A moins qu’on me demande d’aller parler de son éducation au jeune con, en lui expliquant avec ma subtilité habituelle que ça se traite super bien d’être plus au bout du cordon ombilical … Ou peut être que O’Hsraat’ika devrait aller leur dire que c’est pas bien de s’énerver pour si peu, pendant que le Ryn leur revend ce qu’il leurs a volé. Mais on compte tous sur Le grand Maître Kozac Tovara pour les corrompre au Côté Lumineux de la Force à grand coup de bouteilles de whisky …Quoique il a ses chance d’y arriver, s’il se décide a pas jouer au pazaak juste après.. Là, il va perdre toute sa crédibilité…

Sérieux, quand je vois ça, j’me dis que ça va pas pouvoir se passer tranquillement… Et la… J’pense à ma grand-mère... Elle est capable d’envoyer faire des trucs débiles à des gamins juste pour ce marrer... J’espère qu’Atris est pas du genre à partager son sens de l’humour…

Quoique… Vu sa blague sur l’Echange… »

05 septembre, 2006

Education appliquée et survie en milieu hostile..

« - J’aime bien les colonies… P’tre un des seuls endroits dans cette foutue galaxie où j’ai l’impression que les gens se rappellent que tout est pas acquis. Faut dire que quand tu as tout à construire et à faire tourner, tu réfléchis un peu, histoire de pas te planter… Réfléchir… Le truc qu’ils oublient de faire dans le Noyau… J’veux pas généraliser, mais les gars du Noyau, Coruscant, Corellia, Shandrilla et les autres, j’crois pas qu’ils se rappellent ce que c’est que de devoir se battre pour manger et pour avoir de l’eau.. S’ont tous l’eau potable et les repas sous vide.. Ils bouffent ça comme si c’était normal, ils savent même pas d’où ça vient… C’est p’tre ça qui me donne cette drôle d’impression chez eux, ce truc qui te fait dire qu’ils savent jamais où ils ont vraiment les pieds… Sûrement parc’qu’au fond ils savent pas.
Chaque fois qu’ils arrivent quelque part, ils s’étonnent de pas trouver pareil que chez eux, alors que chez eux ils savent même pas comment ça marche et d’où ça vient…
Quant t’arrives sur une colonie, tu apprends comment ça marche et tu te demerdes pour que les choses continuent de marcher… Question de survie. Quant il te manque un truc, tu te demerdes pour le trouver ou pour fabriquer un autre truc qui fait pareil avec les moyens du bord..
Et avant tout ça… Tu te demandes si c’est vraiment important..

Avec l’habitude d’avoir tout sous la main, on se pose plus trop la question… Mais la… T’as pas le choix, parc’que si tu perds ton temps pour rien, tu tiens pas deux semaines galactique standard..

Ouais, les colonies, faudrait qu’se soit obligatoire pour tout le monde pendant six mois… Histoire que les gars du Noyau arrêtent de pleurnicher quand y a deux degrés de trop dans l’eau de leurs baignoires.. J’exagère p’tre un peu, mais faut dire que j’aime pas trop entendre dire que les gars des colonies, ils sont vachement pittoresques…
Moi trouve que se vautrer dans un confort sans se rendre compte de ce qu’on a, c’est con, et j’le dis pas toujours.. Comme quoi, j’suis sûrement plus polie que les banthas du Noyau qui se permettent des commentaires. »