Radio Dianoga: On est ici et on vous voit

--- Bon alors les petits scurriers ? ça vous fait quoi la liberté ? Nous non plus on a pas l’habitude, ça nous fait tout bizarre bizarre comme une holo où Sa Grande et Magnifique Seigneurie Merveilleuse Vador sourirait. Ouais hein… malsain un peu. . --- On suppose que vous avez tous vu la belle retransmission en provenance de Damperio concernant l’avenir du secteur. Ça devait être super intéressant mais…NOUS on a relevé un truc que PERSONNE n’avait vu. Blast ils ont du matériel pour retransmettre les damperis ! Mais qui sont-ils vraiment ?--- Notre point hebdomadaire sur la flotte rebelle de Riva. Depuis que l’Empire a décidé de se barrer de chez nous, ça doit être très calme. Voir même ennuyeux . Du coup on se disait que ça serait sympa de commencer à tourner un mélange entre « Vaisseaux en perdition » et « Les feux de la Passion de Correlia ». Un truc passionnant qui se passe au sein de votre flotte. Histoire de pas trop rester sans rien faire et sans but quoi (on est pas la cour de Sa Splendide Lumiere Brillante Palpatine) … Et puis avec le temps ou vous êtes resté impériaux l’air de rien, on sait que vous savez jouer la comedie. --- Notre décompte des semaines sans intervention de Jolina Khannt voulant nationaliser-redistribuer-gueuler sur les nobles-emmerder des nucléaires est aujourd’hui à 6 semaines. Oui on sait, c’est du jamais vu et c’est impressionnant. Non. On a demandé à ses parents l’air de rien, elle est pas morte.–--- Transmission terminée. Vous pouvez revenir à vos activités prescrites par le ComPorn. ---

04 décembre, 2006

Le pouvoir des noms

- « A l’aube du conflit qui déchira nos terres, au delà des étoiles que l’on voit de nos ciels, les signes furent déchiffrés. La quête devait commencer, car l’heure, le jour, et la conjonction était bonne.

De tous les points cardinaux, des êtres natifs de terres lointaines, se regroupèrent sans conscience de leur destin.

L’homme, fils de Zhell, l’apprenti Jedi venu de la lointaine Alderaande, son Maître qui voyait les Ancêtres, l’Être nomade qui connaissait les routes, la Femme qui voyait ce qui demeure caché et connaissait les règles, l’Iridonienne gardienne des Colonies, tous se trouvaient là où les révélations se posèrent.

Mais les signes sont difficiles à lire. Les batailles auxquelles ils participèrent furent nombreuses, et leur sang coulât comme s’il s’agissait d’un seul, sous les cris de leurs ennemis.

Et dans chaque goutte, ils lisaient.

D’autres se joignirent à eux. Le Mandalorien qui construisait, l’Enfant de la République qui devenait Homme et apprenait à diriger des Hommes, les Enfants des Etoiles aux couleurs de l’hyperespace.

Et tous virent le regard sombre derrière l’éclatante lumière des armes des guerriers sans peur qu’ils affrontaient. Ils virent la toile se dessiner et les volontés percer les chemins du destin de chacun. Car le souffle de la galaxie s’accélérait.
Ils n’étaient ni les plus sages, ni les plus courageux, ni même les plus clairvoyants de leur peuple ou de leur Ordre. Ils étaient là, et leur destin était plus fort que leurs craintes et leurs hésitations.


Et parce que les signes ne peuvent être ignorés, pour chacun les révélations se posèrent.


Car sur la lointaine planète du savoir, ils comprirent qui posait les fils composant la toile, et quelle volonté l’animait.

De vieux noms ressurgirent, et le pouvoir des noms est immense. Car celui qui connaît le nom peut vaincre celui qui le porte. Et le nom des Sith apparu à ceux que le Destin avait guidé jusque ici.

Nombreux furent ceux qui craignaient le nom, car un nom à de la puissance et celui là était puissant. Il transmettait la peur, et déviait les esprits. Mais on se rappela de la puissance qu’obtient celui qui possède le nom d’un autre. Et il fut dit que celui qui cache son nom, en fait sa plus grande faiblesse, car celui qui avance dans l’ombre craint la lumière de la vérité. Et que ceux qui portaient le nom de Sith, ne pourrait être vaincus que par la lumière car elle leur était contraire.


Et ensembles, frères dans leurs destins, ils pistèrent ceux qui se dissimulent.
La route fut longue, et à plusieurs reprises, la mort fut leur ombre, mais jamais ils ne la touchèrent. Car ils savaient que ceux qui voyagent en ignorant la mort ne vont jamais bien loin.


Car pendant que sur Iridonia, aux astres se mêlait les lueurs des batailles, ils partaient vers l’inconnu suivant les signes du nom caché. »


Chroniques de Koz Kirath, Gardienne des Colonies.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

La première Chronique de Koz Kirath... La boucle a trouvé la piste de son commencement, et tout début annonce une fin... Et les vents stellaires murmurent que celle-là s'écrira sur la musique des légendes, d'une main comme la galaxie n'en connaît qu'une par génération. Même à moi, le Destin reste caché, mais il est des voix qui résonnent déjà d'une gloire inaltérable. Koz Kirath est de celles-là, un souvenir qui vit à jamais...

A tous ceux qui prennent ces Chroniques en cours de route, c'est le moment où jamais de faire une rétrospective, parce qu'on vient d'atteindre le premier tournant avec une classe phénoménale. Point.

Jo a dit…

Une Histoire ne s'ecrit que si elle a été construite et vecue. Les Nébuleuses ne font resonner que des faits existants. Car sans Galaxie, pas de Héros.




je te rappelle que c'est toi qui donne de l'Xp, donc normalement c'est a moi de te faire pleins de compliments...

Jo a dit…

ca y est t'as cassé le truc lyrique qui partait là....